Histoire(s) & patrimoine de Charleroi |
#CharleroiChezSoi
(re)découvrez Charleroi depuis chez vous, #CharleroiChezSoi ! : un lieu, un bâtiment, un personnage,... en quelques mots.
1815 à Charleroi : les dernières victoires de Napoléon
Le 15 juin 1815, Napoléon est à Charleroi ; il souhaite rencontrer les armées Alliées séparément afin de les affronter. A Charleroi, l'Empereur vit ses derniers rêves de reconquête de l'Empire...
22 août 1914, Charleroi est en feu
Le 22 août 1914, Charleroi sombre dans le chaos. Les allemands incendient des centaines de bâtiments dans le centre et dans les communes avoisinantes.
3 septembre 1666, fondation de Charleroi
Le 3 septembre 1666, la première pierre d'une nouvelle forteresse est posée en bord de Sambre afin de protéger la capitale des Pays-Bas espagnols, Bruxelles.
A la Ville de Verviers, premier "grand magasin" de Charleroi
En 1846 s’ouvre à l’Entre-Ville un magasin d’un genre nouveau : « A la Ville de Verviers ». Cette enseigne est l’une de celles créées par la famille Thiéry, qui, en quelques années seulement, bâtira un véritable empire commercial.
A Nos Martyrs
Ce monument de Charleroi rend hommage aux victimes carolorégiennes des deux guerres mondiales.
Architecte de Charleroi : Auguste Cador
Auguste Cador est le grand architecte du XIXième à Charleroi. Sa longue carrière et sa riche production va marquer le territoire de Charleroi et de sa région. Mais Cador fut également le concepteur et propriétaire de l'Eden-Théâtre.
Architecte de Charleroi : Joseph André
Palais des Beaux-Arts et des Expositions, Basilique, Hôtel de Ville, Colonnades, Conservatoire,... Joseph André est l'architecte de nombreux édifices de Charleroi.
Buste de la Reine Astrid
Inauguré en 1937, le mémorial en marbre blanc est dû au sculpteur Victor Demanet.
Chansons de Jacques Bertrand
Chansonnier carolorégien, Jacques Bertrand est l'auteur de dizaines de chansons qui illustrent la vie quotidienne des carolos au XIXième siècle.
Chapelles & potales
Que l'on soit catholique ou non, de nombreuses chapelles et potales parsèment le territoire de Charleroi et constituent un véritable patrimoine, souvent méconnu ou ignoré.
Charleroi années 1930 : Tirou bâtisseur
En 1928, le conseil communal, sous l’impulsion de Tirou, décide une série de grands travaux à mener afin de transformer la cité et soutenir son rôle de centre de la région
Charleroi fut forteresse
A l'origine de la ville, une forteresse bâtie en 1666. Aujourd'hui encore, la ville reste architecturalement marquée par son passé militaire.
Charleroi, 1666, forteresse d'Espagne - 350 ans
Le 3 septembre 1666, le Marquis Castel Rodrigo pose la première pierre d'une nouvelle forteresse défensive : « Charl le Roy » vient de naître.
Charleroi, 1914-1918
Le 28 juin 1914, l’archiduc François-Ferdinand trouve la mort à Sarajevo. Cet attentat est le point de départ de la première guerre mondiale ; la région de Charleroi ne sera pas épargnée, bien loin de là...
Charleroi, Belgique. Charleroi, Etats-Unis. Charleroi, Australie.
Charleroi (Belgique) a donné son nom a deux petites villes : l'une en Australie, l'autre aux Etats-Unis.
Charleroi, née pour défendre Bruxelles
Dès 1660, la construction d'une forteresse sur la Sambre est envisagée. Il faut attendre 1666 pour que le projet se concrétise.
Cortège du tricentenaire
Quelques clichés du cortège organisé en 1966 en l'honneur du tricentenaire de Charleroi.
Crônin, l’esprit du Grisou
Crônin s'éprit de Barbe, et ne provoqua plus jamais la mort dans les mines. Mais Doris, l'esprit de l'eau, devint jalouse de leur relation...
Dans le centre-ville, qui est le plus grand ?
Ce n'est qu'à partir des années 1950/1960 que de hauts bâtiments ont commencé à pousser dans le centre-ville ; le dernier fut inauguré en 2014.
De l'art dans le métro léger ?
Charleroi dispose d'un réseau de métro léger. Quelques stations du réseau accueillent des œuvres d'art, souvent méconnues des navetteurs.
De la forteresse française à aujourd'hui
Si les traces de la forteresse de Charleroi sont aujourd'hui peu visibles, la ville reste néanmoins marquée par de nombreux éléments du passé. Comparaison du plan-relief de la forteresse, du plan de Darville et de la situation actuelle dans la ville.
De la Station de l'Etat à Charleroi-Central
La Gare de Charleroi-Central, érigée dans un genre classique entre 1865 et 1874, est la gare principale de la Ville et l'une des plus importantes de Belgique.
Du Cirque Bovyn au Palais des Beaux-Arts
Inauguré en 1957, le Palais des Beaux-Arts succède au Théâtre des Variétés. Sa scène, l’une des plus vastes de Belgique, et La Fée Ignorante de Magritte en font un lieu d'exception.
Histoires, légendes, et superstitions
Des Nutons dans des bois de Gilly, des sorcières et des sabbats, le Cheval Bayard de passage à Couillet, Crônin le Grisou,... Charleroi est riche d'histoires et de légendes !
Hommage à Georges Lemaître
Hommage au carolorégien Lemaître, auteur de la Théorie de l'atome primitif visant à expliquer l'origine de l'univers, fondement de la Théorie du Big Bang
L'abbé De Jong : première victime de la Bande à Bonnot ?
En février 1911, le curé de Dampremy et sa servante sont sauvagement assassinés dans le presbytère de Dampremy. Des membres de la future Bande à Bonnot sont alors à Charleroi...
L'ancien Hôtel des Postes et du Télégraphe
Inauguré en 1911, l'ancien Hôtel des Postes et du Télégraphe héberge aujourd'hui la plus grande librairie de Wallonie.
L'ancienne Abbaye de Soleilmont
La fondation de l'abbaye située aux confins de Gilly remonterait à l'an 1088. En 1963, un terrible incendie dévaste l'abbaye qui, contrairement à Aulne, Lobbes et Villers, fut épargnée pendant la Révolution française.
L'ancienne chapelle Saint-Etienne
Située à la rue Zénobe Gramme, la chapelle Saint-Etienne est aujourd'hui désacralisée. A l'origine de cette chapelle, une communauté de Sœurs installées à Charleroi en 1932.
L'arboretum de la ligne de métro M2
Peuplier, merisier, charme, érable, fusain,... autant d’espèces végétales que croisent quotidiennement les navetteurs de la ligne de métro léger M2, axe d'un arboretum hors du commun.
L'arboretum de Monceau-sur-Sambre (Parc Nelson Mandela)
Le parc du château de Monceau abrite l'un des deux arboretums de Charleroi. Ce domaine de 67 hectares comporte de nombreux arbres remarquables.
L'Eglise de l'Immaculée Conception (Jumet-Gohyssart)
De style néo-roman, l’Eglise de l’Immaculée-Conception fut érigée à la moitié du XIXième siècle et bénéficia du soutien de la famille Bivort. Monumentale, elle devient un véritable phare catholique au cœur d’un quartier ouvrier.
L'Eglise de la Dormition
Ancienne chapelle de Notre-Dame au Rempart, elle devint Chapelle Sainte-Anne, et est depuis le début des années 50 une chapelle des Ukrainiens grecs-catholiques
L'Eglise du XII (Marcinelle, Sacré-Coeur)
Erigée selon les plans de Joseph André, cette église se caractérise par le style moderniste et des tendances Art déco.
L'Eglise Saint-Basile
L'Eglise Saint-Basile fut érigée grâce aux libéralités du couilletois Basile Parent, l'un des plus grands entrepreneurs ferroviaires au XIXième siècle. L'édifice, aujourd'hui menacé, dispose pourtant d’une certaine valeur patrimoniale.
L'Eglise Saint-Laurent
Saint-Laurent, édifice gothique comportant une tour romane, abrite une voûte peinte en bardeaux de chêne, datée de 1588.
L'Eglise Saint-Martin
La tour de Saint-Martin est érigée entre le XIième siècle et le XIIIième siècle. Massive et dépourvue d'accès direct vers l'extérieur, elle jouait un rôle de donjon où la population avoisinante peut trouver refuge.
L'Exposition Internationale de Charleroi de 1911
En 1911 se tient à Charleroi une Exposition Internationale qui présente le savoir faire et le patrimoine de la région. Durant quelques mois, Charleroi se dévoile au monde.
L'Hôtel de Ville de Charleroi
Inauguré en 1936, ce joyaux de l'Art déco est l'oeuvre des carolorégiens Jules Cézar et Joseph André.
La "Basilique" Saint-Christophe
La basilique d'aujourd'hui, même si elle n'en possède pas le titre, est le résultat de la transformation d'une église de 1722 en un édifice aux allures de basilique dans les années 1950.
La Caserne Caporal Trésignies
L'ancienne caserne militaire de style médiéval est située en plein centre de Charleroi.
La catastrophe minière du Bois du Cazier
Le matin du 8 août 1956, la plus grande catastrophe minière de l'histoire de la Belgique allait se produire au Bois du Cazier à Marcinelle, faisant 262 morts de 12 nationalités différentes.
La Chapelle Saint-Fiacre
Ceinturée d'immeubles, la chapelle Saint-Fiacre trouve ses origines dans un ancien hôpital militaire de la forteresse, situé à l'Entre-Ville.
La Cité de l'Enfance
La Cité de l’Enfance fut érigée dès 1938. Développée sous forme d'orphelinat pavillonnaire, le but recherché était de recréer des cellules familiales. L'ensemble demeure le seul exemple d’orphelinat pavillonnaire conservé en Wallonie.
La Madone miraculeuse de Charleroi
Depuis son apparition à des soldats de la forteresse en 1682, Notre-Dame au Rempart, madone miraculeuse, veille sur Charleroi.
La Maison des Corporations (1925-1960)
Erigée en 1925 par Joseph André, la Maison des Corporations abritait le siège de plusieurs unions professionnelles régionales.
La Maison Dorée
En 1899, Alfred Frère érige au centre-ville un immeuble inspiré de l'hôtel Ciamberlani de Paul Hankar. La Maison Dorée, premier bâtiment de style Art Nouveau à Charleroi, est aujourd'hui classée.
La marche de la Madeleine
Depuis le moyen-âge, chaque année, Sainte Marie-Madeleine est célébrée lors d'une marche mi-religieuse et mi-profane.
La Maternité Reine Astrid
« Paquebot rose », bâtiment emblématique et caractéristique du modernisme, la maternité est la première réalisation de l'IOS. Malgré la mobilisation, le bâtiment dessiné notamment par Leborgne disparaît en 1988.
La Neuve-Eglise
Au début du XVIIIième siècle, le curé de Marcinelle souhaitait affirmer son autorité sur la Ville-Basse. Les habitants commencèrent alors la construction d'une nouvelle église, en vue de son rattachement à un autre Diocèse...
La Porte de Waterloo
Plus rien, ou presque, n’évoque le souvenir de ce lieu situé au nord du centre-ville, à la limite avec le Faubourg. Cette Porte de Waterloo n’a laissé que très peu de traces dans le quotidien de la Ville ; pourtant, le lieu est chargé d’histoi
Le Beffroi de Charleroi
Partie intégrante de l'Hôtel de Ville et situé en plein cœur de Charleroi sur la place du Manège, le beffroi est l'un des plus récents de Belgique.
Le Calvaire de Montignies-sur-Sambre
La Chapelle du Calvaire consiste en deux chapelles superposées, dont l'origine remonterait au début du XVIIième siècle.
Le canal Charleroi-Bruxelles
Même s’il ne fut inauguré qu’en 1832, l’idée de relier le bassin de Charleroi à Bruxelles remonte à plusieurs siècles déjà. Le long du canal, les anciens chemins de halage sont toujours présents, incorporés en partie au réseau RAVeL.
Le Caporal Léon Trésignies
Le 26 août 1914, le soldat Léon Trésignies est abattu à Pont-Brûlé. Servant dans le 2e régiment de Chasseurs à Pied, une ancienne caserne de Charleroi porte son nom.
Le Château Bilquin de Cartier
Le château Bilquin de Cartier, situé en bord de Sambre à Marchienne-au-Pont, fut le berceau pendant deux siècles de la famille de Cartier, apparentée à Marguerite Yourcenar.
Le Château de Monceau-sur-Sambre
Bâti au XVII et au XVIIIième siècles, le château de Monceau est entouré d'un parc à l'anglaise, actuel arboretum de Charleroi.
Le Château des Hamendes (Château Mondron)
Propriété de l'industriel Valentin Lambert, le château fut érigé en 1871 à Jumet Hamendes, et transformé par la suite en église, en souvenir de la famille Mondron-Lambert.
Le cimetière de Charleroi-Nord
Inauguré en 1895 afin de remplacer l'ancien cimetière de la Ville, le cimetière de Charleroi-Nord s'illustre par ses nombreuses tombes Art Nouveau, ainsi que pour être la dernière demeure de grands noms de l'Histoire de Charleroi.
Le Docteur Dogniaux et son Institut chirurgical
Le Docteur Dogniaux fonda à Jumet en 1892 un Institut à la pointe de la modernité dont la renommée dépassa la Belgique. Ouvert à tous, les plus démunis ne devaient pas s’acquitter des frais d’hospitalisation.
Le Grand Bazar de la Bourse / Bon Marché (1933-2014)
Démoli début 2014 pour faire place à un centre commercial, le bâtiment de l'ancien Grand Bazar de la Bourse était pour beaucoup pourtant chargé de souvenirs...
Le Krieger-Denkmal « Den Kameraden »
Inauguré le 22 août 1915 par les allemands pour célébrer le passage de la Sambre un an plus tôt, le Monument aux morts allemands est dynamité en 1920.
Le Mineur accroupi & le Forgeron au repos
Ces statues de Constantin Meunier sont les copies de deux éléments qui composent le Monument au Travail.
Le monument « Den Kameraden » (Krieger-Denkmal)
Inauguré le 22 août 1915 par les allemands pour célébrer le passage de la Sambre un an plus tôt, le Monument aux morts allemands est dynamité en 1920.
Le P'tit Bois
Le P’tit Bois de Mont-sur-Marchienne se compose de deux anciens ensembles : d’une part, le parc de l’ancien Château du Blanc Try et de l’autre, le remblai d’un ancien terril.
Le Palais du Peuple
Inauguré en 1925, le Palais du Peuple abritait les bureaux de fédérations ouvrières, ainsi qu'une bibliothèque, une salle de spectacle, un café et des magasins. Il fut démoli en 1980.
Le Parc Bivort
A l’origine du parc, le maître-verrier Henry-Joseph Bivort, propriétaire des Verreries Bennert & Bivort, qui se fait ériger vers 1870 un château au cœur d’un parc de sept hectares.
Le Parc Reine Astrid
Le Parc Reine Astrid fut inauguré en 1882 ; ce parc à l'anglaise du centre-ville abrite quelques bustes de personnalités locales et monuments.
Le Passage de la Bourse
Cette galerie commerçante, qui abritait autrefois la Bourse du Commerce, fut érigée en 1890 à la Ville-Basse. Rénové en 2003 et en 2017, ce passage est l'un des plus beaux passages couverts de la ville.
Le Phalanstère du Bois du Cazier
L'ancien phalanstère des Charbonnages d’Amercoeur et du Bois du Cazier fut inauguré le 6 janvier 1948 ; destiné à l'accueil de mineurs célibataires, il est aujourd'hui devenu un établissement scolaire.
Le Piano De Heug
Le nom De Heug fut longtemps synonyme de qualité dans le monde des facteurs de pianos. Active un peu moins d’un siècle, la renommé de l'entreprise De Heug fut internationale. Un immeuble prestigieux témoigne aujourd'hui du passé de l'entreprise.
Le plan-relief de la forteresse de Charleroi (1695)
Le Musée des Beaux-Arts de Lille conserve plusieurs maquettes de villes du nord fortifiées par Vauban. Parmi elles, celle de Charleroi.
Le quartier de la Chapelle Saint-Ghislain début 1900
Vers 1900 se côtoyaient dans le centre de Dampremy notamment deux églises et un château.
Le Tchot
Le tchot wallon, c’est le ketje bruxellois, enfant sympathique, un peu espiègle, dans lequel se retrouvent de nombreux gosseliens.
Le Tir de Marcinelle
Erigé en 1875, le Tir devient un lieu d’exécution d’une cinquantaine de personnes durant la Seconde Guerre mondiale.
Le Traité de Couillet
Le 23 août 1914, le bourgmestre Devreux signe un traité avec les allemands afin d'éviter le bombardement de Charleroi : le Traité de Couillet.
Les "pavés de mémoire" de Charleroi
Le 23 juin 2012, deux premiers pavés de mémoire de Charleroi sont posés dans les rues de la ville. Charleroi rejoint ainsi un réseau de villes belges et européennes qui, par ce geste, perpétuent le souvenir des victimes du nazisme.
Les 9 rues autour de la Place Vauban
De la Place Vauban partent 9 rues dont le tracé remonte à la fondation de la ville. Les dénominations de ces rues font référence à la période forteresse de la ville.
Les Ages de l'Humanité
L'oeuvre de forme pyramidale, mêlant différents matériaux travaillés par l’homme au fil des âges, évoque la chronologie de l’humanité.
Les émeutes ouvrières de mars 1886
Au début de l'année 1886, les ouvriers commencent à se révolter, protestant contre leur conditions de vie misérables, un salaire qui ne cesse de baisser, et des licenciements de plus en plus nombreux. A Roux, des émeutes feront 19 morts.
Les Bivort, organisateurs des vies industrielle et sociale de Jumet-Gohyssart
A la moitié du XIXième siècle, la famille Bivort était relativement influente à Gohyssart. Trois frères contrôlaient véritablement la vie sociale, religieuse, culturelle et économique du quartier.
Les Carmels de Charleroi / Mont-sur-Marchienne
En 1853, les Carmélites sont autorisées à s'établir à Charleroi. Un premier Carmel est érigé rue de Montigny ; les Soeurs rejoindront Mont-sur-Marchienne en 1886.
Les débuts et la fin du village de Charnoy
Depuis la Préhistoire, la région de Charleroi est habitée. Le petit village de Charnoy sera rayé de la carte pour permettre la construction de Charles-Roy.
Les Delhaize, à l’origine de la grande distribution moderne
C’est à Charleroi que naît la distribution belge moderne. La famille Delhaize est implantée dans la région depuis plusieurs générations. Jean-Jacques Delhaize y est négociant en vins et en charbon.
Les deux églises de Marchienne Centre (1904-1905)
En 1904, la nouvelle église Notre-Dame de Miséricorde remplace l'ancienne église de Marchienne, datant du XVIième siècle.
Les deux tours du Château de la Torre
Le Château de la Torre se situait dans le coeur de Mont-sur-Marchienne. Il fut presque totalement démoli dans les années 1940 par un promoteur immobilier...
Les deux Zoé Drion
Au début du XIXième siècle, deux cousines éloignées, Zoé Louise et Zoé Pauline, voient le jour dans la région de Charleroi. L’une d’elle eut l’honneur d’avoir un boulevard baptisé de son nom.
Les Géants de Charleroi
Depuis 1934, Djean et Djenne, géants de Charleroi, participent aux fêtes populaires. Et depuis leur naissance, leur famille s'est considérablement agrandie !
Les martyrs du 17 et 18 août 1944 - La tuerie de Courcelles
La nuit du 17 au 18 août 1944, 27 hommes et femmes sont tués par les rexistes, en représailles de l'assassinat du bourgmestre de Charleroi, constituant l’un des actes les plus sinistres du catalogue des atrocités rexistes.
Les Monuments aux Morts
Les monuments aux morts sont relativement récents dans l’Histoire. La première guerre mondiale fut d’une brutalité jusqu’alors inconnue. Le lourd tribut humain est l’une des raisons de la présence de nombreux monuments aux morts.
Les Monuments aux Morts
Les monuments aux morts sont relativement récents dans l’Histoire. La première guerre mondiale fut d’une brutalité jusqu’alors inconnue. Le lourd tribut humain est l’une des raisons de la présence de nombreux monuments aux morts.
Les Nutons de Gilly
Près de Soleilmont, il y a déjà bien longtemps, vivaient paisiblement des Nutons. Jusqu'au jour où des humains les méprisèrent....
Les publicités murales peintes
Fréquentes jusque dans les années 1970, les publicités murales peintes sont les témoins de la vie économique d'un temps révolu.
Les reliques de Saint-Valentin
L'église Saint-Rémy de Montignies-sur-Sambre conserve des reliques de Saint-Valentin. Et pourtant, malgré que Valentin soit l'un des saints actuellement les plus connus, la présence de ses reliques à Charleroi est très peu connue.
Les Sabbats de Soleilmont
Délaissé à la fin de l'Ancien Régime, l'Ermitage Saint-Barthélemy et la clairière jouxtant l'Abbaye de Soleilmont deviennent au XIXième siècle des lieux de sabbat...
Les Templiers à Loverval
Dans le Bois du Prince, des ruines auraient servi de relais aux Templiers
Les terrils, témoins de l'activité minière devenus poumons verts
Un terril, c'est avant tout un témoignage d'une activité économique. Aujourd'hui, les terrils sont devenu des biotopes uniques.
Les tramways à Charleroi
Charleroi a vu ses premiers tramways, à traction chevaline et ensuite à traction vapeur, circuler à partir de 1881. Entre cette date et 1958, le réseau ferroviaire urbain a été en permanente extension.
Ligne du temps - Evolution d'une ville
Charleroi, 350 ans : le développement d'une ville. Des premières traces écrites de Charnoy jusqu'en 2016, en une sélection de quelques dates clés.
Marguerite, Marie et Jeanne, sorcières de Monceau
De 1592 à 1671, au moins six exécutions sur le bûcher eurent lieu à Monceau pour faits de sorcellerie. Parmi les victimes, Marguerite, Marie et Jeanne, présumées sorcières.
Mémoire et monuments
Du modeste mémorial à la construction imposante, de nombreux monuments parsèment la ville et honorent des personnalités carolorégiennes, de grands événements ou encore la mémoire de victimes de guerre.
Mémoires de la résistance juive à Charleroi - 1942
Histoire en vidéo - La résistance de la communauté juive de Charleroi durant la seconde guerre mondiale
Mémorial aux martyrs juifs
Inauguré le 19 avril 1964, ce mémorial honore la mémoire des Israélites victimes de la guerre et martyrs du nazisme.
Mémorial à Pierre Harmignie
Pierre Harmignie, curé-doyen de Charleroi, assassiné par les rexistes en août 1944.
Monument au Lieutenant Willy Roullon
Ce monument de Mont-sur-Marchienne honore le Lieutenant Roullon, abattu alors qu'il tentait de s'évader du camp de Prenzlau en Allemagne.
Monument au Pigeon Soldat
Ce monument de Charleroi rend hommage aux pigeons messagers des dernières guerres.
Monument au Traité de Couillet, aux Poilus français, et au civisme de la population
Le 23 août 1914, le bourgmestre Devreux signe un traité avec les allemands afin d'éviter le bombardement de Charleroi : le Traité de Couillet.
Monument aux Armées françaises
Ce monument de Charleroi rend hommage aux soldats français qui traversèrent la Sambre pour combattre pour la Liberté.
Monument aux Morts - Cimetière de Marchienne-au-Pont
Le Monument aux Morts situé dans le cimetière de Marchienne-au-Pont est l'oeuvre de J. Roger.
Monument aux Morts - Cimetière de Roux
Inauguré en 1928, le Monument aux Morts de Roux est l'oeuvre de J. Roger.
Monument aux Morts de Couillet
Inauguré en 1924, le monument aux Morts de Couillet rend hommage aux victimes des deux guerres mondiales.
Monument aux Morts de Jumet
Le Monument aux Morts de Jumet est l'oeuvre de Weygers, et a été inauguré en 1925.
Monument aux Morts de Marcinelle
Oeuvre de Léon Van den Houten, le Monument aux Morts de Marcinelle prend place dans le cimetière communal.
Monument aux Morts de Ransart
Le Monument aux Morts de Ransart date d'après la Seconde Guerre mondiale, et intègre deux plaques commémoratives datant de 1921.
Monument aux Soldats Français - La « Reconnaissance française »
Dressée dans le cimetière de Charleroi-Nord, la « Reconnaissance française », est offerte par la France en remerciement de l’accueil qui fût fait en 1870 aux soldats français blessés rapatriés à Charleroi.
Monument à Albert Losa
Ce monument de Lodelinsart honore Albert Losa, Résistant au sein du Mouvement national belge, exécuté par les allemands en 1942.
Monument à Antoine Lessinnes
Ce monument rend hommage à un ingénieur carolorégien, promoteur de l'électrification du réseau ferré belge et également auteur de nombreux projets dans le domaine électrique.
Monument à Emile Ruiters et aux martyrs du Mouvement national belge
Ce monument est érigé à la mémoire d’Emile Ruiters, chef provincial du Mouvement national belge (section du Hainaut), et à ses compagnons décédés durant la Seconde Guerre mondiale.
Monument et crypte de Dampremy
Le Monument aux Morts de Dampremy s'élève au-dessus d'une crypte où reposent les restes de 29 damrémois.
Monument Franco-Belge
Oeuvre de Brognon, le monument Franco-Belge rend hommage aux soldats belges et français et déportés de Mont-sur-Marchienne de 14-18.
Monument Franco-Belge
Ce monument honore la mémoire de soldats belges et français tombés à Marchienne-au-Pont, ou y décédés des suites de leurs blessures. Une crypte accueille les restes mortels de 20 soldats.
Monument international aux Victimes du travail
Inauguré en 1960, le monument rend hommage aux victimes du Cazier, ainsi qu'à tous les mineurs morts au champs d'honneur du travail.
Monument Marguerite Yourcenar
Marguerite Yourcenar, descendante des de Cartier de Marchienne, est honorée dans la cour de l'ancien château familial.
Notre-Dame au Bois
Un homme tombé dans le puits d'une ancienne mine est à l'origine de la chapelle. Devenu lieu de pèlerinage, une ducasse s'y développe, longtemps l'une des plus populaires de la région.
Parcs & nature
Au XIXième siècle, l'économie régionale était basée sur les industries lourdes, et polluantes. Depuis, Charleroi s'est muée en ville verte, parsemée de parcs, de terrils boisés, de réserves naturelles, et d'arboretums
Patrimoine architectural
Ville d'architectures, Charleroi possède de nombreux édifices remarquables, dont certains furent salués pour leur intérêt architectural lors de leur construction.
Patrimoine culturel
Le patrimoine culturel et de nombreuses coutumes anciennes rythment la vie quotidienne de la Cité depuis plusieurs siècles.
Patrimoine d'origine militaire
Charleroi fut forteresse espagnole, française, hollandaise et belge. Au fil des siècles, le rôle de Charleroi en tant que place forte a marqué la configuration de la ville et de certains édifices.
Patrimoine d'origine religieux
Le patrimoine d'origine religieux, qui au fil du temps est également devenu une forme de patrimoine culturel, est important dans nos contrées : Madone miraculeuse, processions religieuses et militaires, vénération de reliques, et bien d'autres !
Patrimoine disparu
Ville en éternelle reconstruction, certains édifices remarquables ont malheureusement parfois été sacrifiés...
Plaque - Eglise Saint-Barbe (Gilly Haies)
Réalisée par le sculpteur Dofny, la plaque commémorative renseigne les noms de 32 victimes de le Première Guerre mondiale.
Plaque au Général Charles de Gaulle
En 1914, Charles de Gaulle, blessé, est rapatrié vers la France. De passage à Charleroi, il y salue sa soeur, installée rue d'Assaut.
Plaque aux fusillés des 22-23 août 1914
Les 22 et 23 août 1914, les allemands passent par les armes 7 otages près de la propriété Bailleux à Marchienne.
Plaque à Ferdinand Davaux
Cette plaque commémore la mémoire de Davaux, chansonnier carolorégien.
Plaque à Pierre Harmignie
Pierre Harmignie, curé-doyen de Charleroi, assassiné par les rexistes en août 1944.
Plaque à René Dethier
Fondateur et directeur de la revue d'art et de lettres « La Jeune Wallonie », jeune auteur et conférencier, René Dethier meurt atteint de la tuberculose, à 21 ans seulement.
Plaques - Gare de Charleroi-Sud
L'administration des cheminots, postiers, téléphonistes et télégraphistes rend hommage à son personnel mort en 14-18.
Quand Tirou s'appelait Sambre
Tirou ne s'est pas toujours appelé ainsi. Jadis, la Sambre coulait le long du tracé actuel du boulevard. Vecteur de développement de la Ville-Basse, ce bras de Sambre fut comblé entre les années 1930 et 1950.
Regard de Lumière
Oeuvre de Charles Delporte, cette sculpture aux trois têtes de femmes représente la grâce, la bonté et la douceur.
Spirou, Luke & Co, enfants de Charleroi
Marcinelle est l'un des berceaux de la bande dessinée. Honneur y est rendu dans le centre de Charleroi : statues et fresques de plusieurs héros de l'Ecole de Marcinelle décorent rues et stations de métro.
Statue d'Yvonne Vieslet
Le mémorial à Yvonne Vieslet, tuée en 1918 par un tir allemand, remplace un mémorial plus ancien, détruit par les allemands durant la Seconde Guerre mondiale.
Statue de Jules Destrée
Cette statue dédiée à Jules Destrée a été réalisée par Alphonse Darville en 1957
Terre de châteaux
Charleroi possède plusieurs édifices où résonnent encore les échos de seigneurs, de châtelains, d'industriels renommés, et de visiteurs de marque.
Thomas Bonehill & La Providence
Arrivé d'Angleterre dans le bassin de Charleroi en 1824, Thomas Bonehill apporte les innovations de la révolution industrielle et les implante dans la région, notamment aux "Forges de la Providence", dont il est l'un des fondateurs.
Totor et Tutur
Les deux lions, aux noms sympathiques, Totor et Tutur, veillent sur le Palais de Justice de Charleroi depuis plus d'un siècle.
Totor et Tutur, les lions carolos
Les deux lions, aux noms sympathiques, Totor et Tutur, veillent sur le Palais de Justice de Charleroi depuis plus d'un siècle.
Trois quartiers, trois époques
Les quartiers du centre se distinguent par une architecture différente, due à leurs origines et leurs fonctions premières. Trois quartiers différents peuvent ainsi être distingués.
Un métro pour Charleroi !
Le 21 juin 1976, Charleroi voit ses rames de « métro » parcourir le premier tronçon du métro léger. Projet gigantesque, il est aujourd'hui en partie réalisé, dans une version grandement allégée par rapport à celle prévue dans les années 60.
Vitrail - Eglise Notre-Dame des Sept Douleurs
Dans l'Eglise Notre-Dame des Sept Douleurs, un vitrail, don de la famille Cambier-Dupret, rend hommage au Roi Albert Ier, à la Reine Elisabeth, et se souvient de la Première Guerre mondiale.
Yvonne Vieslet
Le 12 octobre 1918, Yvonne Vieslet, âgée de 10 ans, est abattue à Marchienne-au-Pont par un soldat allemand alors qu'elle offre sa couque scolaire à un soldat français.
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